Depuis plus de vingt ans, Black Stone Cherry s’impose comme l’un des groupes les plus solides et authentiques de la scène rock américaine. Originaires d’Edmonton, dans le Kentucky, ces quatre musiciens ont su réinventer les codes du rock sudiste, tout en y injectant une énergie moderne empruntée au hard rock et au blues.
Le résultat : un son immédiatement reconnaissable, puissant et chaleureux, qui a conquis un public international.
Ce qui distingue Black Stone Cherry, c’est cette capacité à mêler la lourdeur du hard rock à la chaleur du blues et du rock sudiste.
La voix rugueuse et émotive de Chris Robertson, les guitares nerveuses de Ben Wells et la batterie explosive de John Fred Young façonnent un style cohérent, sans concessions.
Au fil de leurs albums, de Folklore and Superstition (2008) à Between the Devil & the Deep Blue Sea (2011), le groupe affine encore son écriture : refrains accrocheurs, narrations sensibles, et une production qui met en avant l’âme du sud des États-Unis.
Si Black Stone Cherry séduit sur album, c’est surtout sur scène que le groupe révèle toute sa puissance. Les concerts, souvent intenses et généreux, allient émotion, sueur et communion avec le public.
Leur énergie authentique leur a permis de s’imposer dans de nombreux grands festivals européens, où ils comptent désormais un noyau de fans fidèles.
Comme il l’avait annoncé il y a quelques semaines déjà, c’est donc le 6 mars 2026, que le groupe du Kentucky, Black Stone Cherry, reviendra en force avec un nouveau EP – uniquement disponible en digital – intitulé « Celebrate ».
Produit et enregistré par le groupe aux High Street Studios à Bowling Green, dans le Kentucky, ce EP reflète parfaitement ce qu’est BSC. Au fil de ces 7 morceaux à l’âme brute, on ressent, à travers des riffs musclés bien sûr, du bonheur, mais aussi du chagrin.
En fait, ce mini album émouvant est un condensé des expériences de vie de quatre hommes approchant de la quarantaine (dont deux d’entre eux sont devenus parents).
Au six titres originaux imposants, prêts à être joués live, j’ajoute une surprenante reprise du hit de Simple Minds « Don’t You (Forget About Me) » enregistrée avec Tyler Connolly, chanteur/guitariste du groupe canadien Theory Of A Deadman.
Le groupe indique:
« Nous avons pris beaucoup de plaisir à imaginer le concept de cette vidéo ! Nous avons échangé nos idées avec le réalisateur Kyle Loftus jusqu’à ce que nous trouvions quelque chose qui nous enthousiasme tous !
Nous voulions que ce clip montre ce que c’est que d’être coincé dans quelque chose, que ce soit un travail ennuyeux ou dans sa propre tête, et comment la moindre petite opportunité peut permettre de s’en sortir
La chanson elle-même parle de célébrer les petites choses de la vie, même si ce n’est que le fait d’arriver au bout de la journée.
Cette vidéo est incroyable, on y voit un acteur/musicien extraordinaire, Aaron Paulsen, dans le rôle principal, et nous avons des frissons à chaque fois que nous la regardons ! Les confettis à la fin étaient l’une de nos principales demandes, car nous voulions montrer visuellement ce que l’on ressent mentalement lorsqu’on célèbre dans son esprit ! »
More Info soon…………….
Regardez le Clip:
Déjà disponible:
Les titres:
- Celebrate
- Neon Eyes
- Caught Up In The Up Down
- I’m Fine
- Deep
- What You’re Made Of
- Don’t You (Forget About Me)
(feat. Tyler Connolly of Theory Of A Deadman)
La musique:
Stay Tuned
Doc Olivier

