🔴 Cheap Trick – Nouvel album « All Washed Up ». Ecoutez « Twelve Gates » 🔴

📷Gracie Quaccia
3
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1. All Washed Up
2. All Wrong Long Gone
3. The Riff That Won’t Quit
4. Bet It All
5. The Best Thing
6. Twelve Gates
7. Bad Blood
8. Dancing With The Band
9. Love Gone
10. A Long Way To Worcester
11. Wham Boom Bang

Le groupe Cheap Trick a annoncé aujourd’hui la sortie de son nouveau single. « Twelve Gates », l’hymne et la chanson entraînante, est disponible dès maintenant sur tous les sites de streaming et plateformes de streaming.

Une vidéo animée avec paroles, créée par John Johnson, est également disponible en streaming.

Ce titre annonce le très attendu 21e album studio des Rock n’ Roll Hall of Famers, « All Washed Up », qui sortira chez BMG le vendredi 14 novembre en version numérique, vinyle noir standard et CD.

Une version LP exclusive « Orange Marble » en édition limitée à 1 000 exemplaires sera disponible en précommande sur la nouvelle boutique D2C du groupe.

Avec leurs refrains imparables, leur humour décalé et leur énergie scénique, Cheap Trick s’est imposé comme l’un des groupes américains les plus influents de la scène rock depuis les années 1970.

Mélangeant la puissance du hard rock, la fraîcheur de la pop britannique et une dose de dérision bien à eux, ils ont bâti une carrière qui traverse les décennies sans perdre de sa pertinence.


Formé en 1973 à Rockford (Illinois), le groupe réunit Rick Nielsen (guitare, compositeur principal), Robin Zander (chant, guitare), Tom Petersson (basse, inventeur de la fameuse basse 12 cordes) et Bun E. Carlos (batterie).

Dès ses débuts, Cheap Trick se distingue par un contraste visuel et musical : d’un côté, Zander et Petersson jouent les rock stars charismatiques, de l’autre, Nielsen et Carlos cultivent une image excentrique, presque comique.


Musicalement, Cheap Trick associe la mélodie des Beatles, la fougue du garage rock et la puissance des Who.

Leur son, vif et accrocheur, donnera naissance à ce que l’on appellera plus tard le power pop, un genre qui mariera guitares musclées et refrains pop lumineux.


Si leurs premiers albums (Cheap Trick, In Color, Heaven Tonight) rencontrent un succès d’estime, c’est leur album live At Budokan (1979) qui change la donne.

Enregistré au Japon, où ils sont déjà adulés, il contient les versions définitives de leurs hymnes : “I Want You to Want Me” et “Surrender”, deux classiques du rock. Le disque se vend à des millions d’exemplaires et propulse Cheap Trick dans la cour des grands.


Dans les années 1980, le groupe connaît des hauts et des bas, mais retrouve le sommet des charts avec “The Flame” (1988), une ballade qui devient leur seul numéro 1 aux États-Unis.

Malgré les changements de mode, Cheap Trick reste actif, publiant régulièrement de nouveaux albums et sillonnant le monde en tournée.


Leur constance finit par payer : en 2016, ils sont intronisés au Rock and Roll Hall of Fame, reconnaissance ultime pour leur contribution au rock.


Cheap Trick a inspiré une multitude de groupes, de Guns N’ Roses à Smashing Pumpkins, en passant par Green Day et Foo Fighters.

Leur approche décomplexée du rock, mélangeant ironie et sincérité, a ouvert la voie à toute une génération de musiciens cherchant à concilier mélodie pop et puissance rock.


👉 Plus de cinquante ans après leur formation, Cheap Trick continue de jouer avec la même fougue, prouvant qu’ils restent les éternels adolescents du rock. Leur héritage, fait de riffs accrocheurs, de refrains fédérateurs et d’un esprit frondeur, en fait l’un des groupes les plus attachants et influents de leur époque.

Doc Olivier


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