27 juillet 2024

👉 [Chronique] – Lita Ford – Dangerous Curves (1991) par Le Doc.

12 novembre 2023 vinylestimes Chroniques Disques Commentaires fermés

Lita Ford, la reine du glam metal, revient avec un nouvel opus explosif intitulé “Dangerous Curves”. Sorti en 1991, cet album est une déclaration de puissance féminine, mêlant des riffs de guitare fulgurants, une attitude rebelle et des paroles audacieuses.

1. Larger Than Life (3:53)
2. What Do Ya Know About Love (3:52)
3. Shot of Poison (3:31)
4. Bad Love (4:20)
5. Playin’ With Fire (4:08)
6. Hellbound Train (6:06)
7. Black Widow (3:30)
8. Little Too Early (2:58)
9. Holy Man (4:42)
10. Tambourine Dream (4:53)
11. Little Black Spider (1:46)

– Lita Ford / lead vocals, guitars
– Joe Taylor / guitar
– David Ezrin / keyboards
– Matt Bissonette / bass guitar
– Myron Grombacher / drums

L’album démarre en force avec “Larger Than Life”, un hymne hard rock qui annonce d’emblée la présence indomptable de Lita Ford. Sa voix rauque et pleine d’assurance résonne à travers chaque morceau, capturant l’essence même du glam metal des années 90.

“What Do Ya Know About Love” et “Shot of Poison” maintiennent l’énergie du début, avec des solos de guitare électrisants et des refrains accrocheurs. Lita Ford explore différents aspects de l’amour et de la passion, ajoutant une profondeur émotionnelle aux compositions énergiques.

“Playin’ with Fire” et “Little Too Early” montrent une facette plus mélodique de l’artiste, révélant une sensibilité artistique qui va au-delà de la puissance brute des morceaux plus rapides.

“Hellbound Train” et “Black Widow” ramènent l’auditeur dans l’univers impitoyable du glam metal. Les paroles provocantes et les rythmes frénétiques font de ces titres des moments forts de l’album. L’instrumental “Little Black Spider” offre une pause, mettant en valeur le talent de guitariste exceptionnel de Lita Ford.

“Dangerous Curves” culmine avec “Tambourine Dream” et “Holy Man”, deux morceaux qui fusionnent le côté sauvage du rock avec des éléments plus expérimentaux. L’album se clôture avec la même intensité qu’il a commencé, laissant les auditeurs épuisés mais comblés.